Image
Beaucoup de gens ne souhaitent pas de photos “posées”. Mais “posé” est souvent synonyme de rigide et traditionnel. Il faut concevoir les séances posées en fonction des demandes, de l’ambiance et du caractère de chacun. Tout dépends du contexte en fait. J’aime proposer des séances photo qui soient d’abord l’occasion de s’amuser. Un exemple ici, une vraie photo de famille, mais pas traditionnelle.
Une photo réalisée lors du festival Terres du Son, il y a 10 ans environ. Le lâcher prise, la fête, la chaleur et le soleil couchant, une photo symbole des festivals d’été si chers au français. Un très grand tirage à l’entrée du festival accueillit les festivaliers pendant quelques années. Une de mes premières fiertés photographiques.
La photo est une histoire de confiance, et Benjamin, alias Nota Bene, Youtubeur spécialisé sur l’histoire, a bien voulu me confier ses photos corporate. Une fois de plus, une belle rencontre qui permet un lâcher prise de Benjamin, et aboutit à un projet satisfaisant.
Fin de manifestation, place de la Bastille. J’ai essayé de réaliser un cliché différent, symbolique de la liberté de manifester.
Les cérémonies religieuses sont toujours l’occasion de beaux clichés. Tout est réuni : lumières inhabituelles, costumes, émotions. Quelquefois on a même la chance de photographier des cérémonies moins habituelles, comme ce baptême chrétien orthodoxe
La photographie de reportage offre quelquefois la possibilité d’objet hors du commun. Ici un reportage sur la permanence opérationnelle de l’armée de l’air. Une belle occasion de photographier ce sujet avec un traitement spécifique. En l’occurence, j’ai pu faire l’intégralité des clichés avec des flashs de studio qui m’ont permis de mettre en valeur ce Rafale.
Réaliser une bonne photo n’est pas une question de technique. Il faut pouvoir “voir” le cliché avant de le réaliser. Cela nécessite un lâcher-prise qu’il n’est pas toujours facile d’avoir avec les contraintes de la vie quotidienne. Faire une bonne photo, c’est aussi savoir que je suis heureux, comme ce soir de 2022 où j’ai photographié ma compagne Léa.
La liberté n’est pas gratuite, c’est ce que dit cet écriteau photographié dans une ancienne prison du Shah d’Iran, en plein coeur de Téhéran. Une phrase de propagande du régime religieux iranien actuel. Mais une phrase que beaucoup de jeunes iraniens font leur, en luttant chaque jour contre le régime répressif des mollahs. Notamment sur la question du Hijab (voile islamique), que de nombreuses iraniennes enlèvent chaque jour, enfreignant la loi et risquant la prison.
